DE L’UTILISATION DES JOURS DE GREVE…
Pour les nouveaux lecteurs : texte initial
Le 26 mai 2009, les Organisations Syndicales représentatives à la SNCF ont appelé à la grève dans le cadre de la journée interprofessionnelle d’actions.
Le résultat (environ 20% de grévistes) n’a pas été à la hauteur de l’ampleur des attaques contre les salariés du public comme du privé.
Tenter de sauver les meubles
C’est ce même jour, 26 mai 2009, que la direction CGT du CE Clientèles, de concert avec le syndicat UFCM CGT de Paris 12, a organisé une « réunion d’information » pour essayer de convaincre les élus du CE, du bien-fondé de la procédure de licenciement visant Pierre et, accessoirement, tenter de justifier leur recours honteux à Hortefeux...
Les jours de grève sont décidément très prisés par ces « militants de l’extrême » pour s’attaquer aux salariés victimes de leur harcèlement !
Sous la grève, les harceleurs !
En 2008, déjà, c’est un jour de grève des Cheminots que la lettre de convocation à l’entretien préalable au licenciement de Malika avait été écrite et envoyée par la secrétaire du Comité.
Mais pourquoi sont-ils si méchants ?
Mais pourquoi, ces pseudo-syndicalistes sont-ils si méchants les jours d’action revendicative ? Parce qu’ils sont en grève ? Parce qu’ils n’y sont pas ? Il y a quand même de quoi s’interroger…
Pour traquer et éliminer des salariés
Quant à la mise en œuvre de telles pratiques au nom de la CGT, sans débat entre les syndiqués, elles sont toujours aussi choquantes. Il en est de même pour l'utilisation des fonds du Comité (l'argent des cheminots) sans en référer aux élus, pour traquer des salariés qui demandent simplement à pouvoir travailler en paix...